Les Mères lyonnaises. Histoires de femmes de goût(s) !

« Ni historien, ni universitaire, Dominique Erster peut être considéré comme un « amateur éclairé », au sens que Roger Vailland donnait au mot « amateur ». 

Tout en poursuivant une carrière professionnelle dans la banque, il a mené sa vie de sempiternel « curieux » en procédant à diverses recherches liées au département de l’Ain, dont il est originaire.
Ainsi s’est-il préoccupé de faire revivre non seulement Alphonse, le député mort pour « vingt-cinq francs » sur une barricade parisienne, le 3 décembre 1851, mais toute la famille Baudin de Nantua.
De même, il a ressuscité la vie paysanne du plateau de Retord et son rôle dans la Résistance. Il préside, du reste, aux destinées de l’association des Amis du Retord. Le voici « lyonnais plus que lyonnais » par le livre qu’il consacre à celles qui ont contribué à la renommée gastronomique de notre ville : les Mères lyonnaises. »