Par Antoine Le Blanc,
en partenariat avec la Géothèque
L'oubli des risques et des catastrophes est souvent pointé du doigt lorsqu'un nouvel épisode survient : mais la mémoire est-elle si bonne conseillère pour la gestion du risque? Comment peut-on la transmettre, l'écrire ou la représenter, sans la trahir et mettre en œuvre une gestion approximative du risque? Des outils existent... mais entre politique, économie, environnement et société, entre échelle micro et macro, les enjeux sont complexes.